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 Olympe tetropoulos

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3 participants
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Olympe Tetropoulos

Olympe Tetropoulos


Messages : 3
Date d'inscription : 17/04/2013
Age : 41
Localisation : Elizabeth Town

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MessageSujet: Olympe tetropoulos    Olympe tetropoulos  Icon_minitimeJeu 18 Avr - 18:37



Olympe Tetropoulos
starring Mila Kunis


IDENTITÉ

NOM : Tetropoulos
PRÉNOM(s) : Olympe
AGE : 30
DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 5 avril 1984 à Athènes
HABITE : Elizabethtown







MÉTIER ET RANG

Avant la guerre, je travaillais depuis quatre ans pour Médecin Sans Frontière en tant que médecin. Depuis que je suis à la communauté, je travaille à l’infirmerie aux côtés des autres médecins.


PHYSIQUE

Même pour une femme je ne suis pas très grande. En effet, je ne mesure que 1m63 pour 54 kg. Je dirais que je suis une femme au physique banal : cheveux châtains aux yeux clairs, je n’en impose pas beaucoup à première vue. Les gens me perçoivent souvent comme une petite femme discrète et chétive. On me dit souvent que je suis jolie ; en fait les hommes me sollicitent beaucoup, même si j’aime les femmes. Mes épaules carrées et ma taille fine me font une très belle poitrine que je ne manquais pas de montrer quand il s’agissait de rentrer gratuitement dans un bar ou de draguer un homme pour qu’il me paie un verre. Grande amatrice de sport, j’arrive à garder un ventre plat. Mes 1m63 ne me permettent malheureusement pas d’avoir les jambes d’Adriana Carembeu, mais qu’importe ? Je ne me plains pas de mon physique, surtout lorsqu’il s’agit de parler aux femmes. Je me considère féminine, même si je sais que j’ai ce côté masculin dont les femmes raffolent. A vrai dire, j’en joue beaucoup. Mes talons aiguille, mon pantalon décoloré, mes ongles vernis, mon rouge à lèvre bordeaux et mes yeux de biches faisaient un tabac dans les bars lesbiens que je fréquentais à l’époque. Maintenant que la guerre est passée, je ne m’attarde plus sur la tenue que je vais porter pour la journée. J’ai assez à faire avec mon travail et les tâches de la communauté. Un coup de mascara me suffit à garder ma part de féminité. Je possède un sourire digne des films américains, avec une dentition aux dents blanches presque parfaite et des lèvres pulpeuses. J’ai de grands yeux verts qui donnent un regard sensuel. Mais s’il y a bien une chose que je n’ai pas chez moi c’est mon nez en trompette. Je possède un tatouage sur mon avant bras droit. L’inscription indique « fraternel » en grec. Je ne vous l’ai pas précisé mais mon frère (ou demi-frère) est Aristide Tetropoulos.


CARACTÈRE

Une bonne partie des gens que je rencontre n’apprécient pas beaucoup mon franc-parler ou ma « grand gueule » comme ils le disent si bien. Je suis une femme au caractère bien trempé. J’estime que la parole est une notion indispensable ; qu’y a t’il de mal à dire que je n’aime pas ceci ou cela ou bien à essayer d’argumenter mon point de vue sur une chose ? Absolument rien, c’est ce que je me dis. Je ne suis pourtant pas méchante, sauf quand je n’aime pas quelqu’un ; là je ne manque pas de lui faire remarquer. Je suis quelqu’un de très avenant qui aime parler aux gens et rencontrer de nouvelles têtes. J’essaye de garder le sourire même quand les temps sont durs. J’ai grandi aux Etats-Unis dans une famille grecque où j’ai été élevée selon les valeurs traditionnelles familiales. Les deux seuls piliers de la vie sont pour moi la famille et les amis, ce à quoi je rajouterais les femmes. Mes parents n’ont jamais su que j’étais homosexuelle. C’est mieux comme ça. Ils ne sont pas homophobes, non … disons qu’ils apprécient les gays seulement quand il s’agit d’amis, mais lorsque cela touche la famille, il vaut mieux se faire tout petit. J’ai tendance à ne pas me laisser faire lorsque des homophobes m’insultent. Beaucoup de gens pensent que c’est une décision, et qu’un traitement ou même la religion peut nous soigner. S’ils essayaient de comprendre juste un instant leur perception serait différente… Alors j’essaye de ne pas me laisser marcher sur les pieds et de défendre ma position même si c’est difficile parfois. Je ne suis pas une sainte et je suis loin d’être parfaite. Mes plus gros défauts sont certainement la gourmandise, la jalousie et impulsive. Pour rien au monde je ne corrigerais ces défauts puisque c’est tout simplement ce que je suis.


LIENS




    ARISTIDE TETROPOULOS : frère
    Aristide est mon demi-frère. Nous avons la même mère, Catherine. Je le considère comme mon frère. Même si nous n’avons pas grandi ensemble, nous sommes très proches. Ce n’est que depuis qu’il est avec Gabrielle que nous nous sommes un peu éloignés.
    Gabrielle McCord : ennemie
    Je la déteste parce qu’elle a fait souffrir Ari. Je ne supporte pas être dans la même pièce qu’elle. L’idée de savoir que mon frère ait quitté la maison pour aller vivre dans la sienne m’insupporte. Je dois reconnaitre qu’elle fait des efforts. A vrai dire, je m’en fiche.
    Mathilda Johnson - supérieure
    Elle ne peut pas me voir mais nous devons travailler ensemble. Je n’ai rien contre elle et j’aimerai lui prouver que suis un bon médecin et qu’elle peut avoir confiance en moi.
    Samuel Brimstone : meilleur ami d’Aristide
    Je le connais par Arisitde. Je m’entends très bien avec lui. Il assume pleinement son homosexualité, tout comme moi. Ca fait partie des choses sur lesquels nous nous entendons bien.



HISTOIRE

Née en Grèce, j’ai été éduquée dans une famille orthodoxe aux côtés de mes parents, Catherine et David. J’ai également un demi-frère, Aristide, mais je le considère comme mon frère. Mes parents se sont rencontrés à Athènes. Ca a été un coup de foudre. Elle n’avait alors que 16 ans et lui 21. Ils décidèrent de se marier quelques mois plus tard. Je suis donc née de ce mariage en avril 1984. Nous avons du déménager à Baltimore ; une petite ville à côté de Washington car à l’époque la Grèce envoyait des hommes en signe d’amitié aux Etats-Unis et mon père en fit partie.

Née de deux parents grecs, j’ai pourtant vécu tout ma vie aux Etats-Unis. Bien que j’ai été baignée dans la culture américaine, mes parents n’ont pas fait table rase de leurs origines. Je parle donc couramment grec et me considère plus Grecque qu’Américaine. J’ai vécu une enfance heureuse et simple. Etre enfant unique ne m’a pas trop réussi ; je me suis longtemps considérée comme le centre des attentions mais avec l’âge cet égocentrisme s’est effacé. Je m’envolais régulièrement en direction d’Athènes pour voir Aristide. Chaque été c’était la même chose : ma mère et moi partions en laissant papa seul sur le sol Américain. Mes meilleurs souvenirs d’enfance restent en Grèce. Je me souviens des longues balades à vélo que nous faisions entre frère et sœur. J’ai toujours aimé Aristide. Il m’arrivait parfois de dire à maman de me laisser à Athènes et de repartir sans moi. On s’ennuie vite tout seul. Je ne dis pas que ma vie à Baltimore était triste, bien au contraire, seulement … le temps passait plus vite avec mon frère.

On vivait au 654 Bali Court. Un quartier modeste où les familles ne roulaient pas sur l’or. C’est dans cette maison aux volets verts que j’ai grandi. Une petite demeure s’étalant sur deux étages, avec un petit jardin qui menait sur la rue. Mon père garait toujours son 4x4 dans l’allée. J’aimais beaucoup cette voiture, j’avais l’impression d’être grande. Je pouvais voir tout le monde de là haut. Tous les matins, mon père m’emmenait au lycée à Baltimore High School. Original comme nom, n’est-ce pas ? C’est dans ce lycée que j’ai rencontré ma meilleure amie, Jenny. Nous nous somme rencontrés en 3e et depuis nous ne nous sommes plus quittées. Je me suis fait un groupe d’amis, que je ne vois plus maintenant. Je faisais partie de l’équipe de tennis. Nous sommes arrivés jusqu’au championnat national où nous avons décroché le premier prix. J’ai continué ce sport à la fac jusqu’à ce que je ne puisse plus allier études et sport.

J’ai toujours voulu être médecin. Les revenus de mes parents ne me permettaient pas d’intégrer les plus prestigieuses écoles de médecine de la côte, mais j’ai obtenu une bourse qui m’a ainsi permis d’entrer à la fac. Je n’étais pas une « tête », mais j’étais travailleuse. Je pouvais passer des nuits entières à réviser pour décrocher une bonne note. Avec ce travail perpétuel j’ai obtenu mon diplôme en étant major de la promotion. Avec ce titre, plusieurs hôpitaux m’ont proposé du travail que j’ai refusé. En effet, je ne me voyais travailler de jour comme de nuit dans un hôpital, ou même tenir mon propre cabinet et devoir me confronter quotidiennement à des patients névrosés et dépressifs. Non. Je rêvais d’aventure, de voyages et de rencontres. J’ai donc décidé de postuler à Médecin sans Frontières. Après plusieurs mails, un entretien téléphonique, un entretien avec le patron de MSF ainsi qu’un rendez-vous avec le psychiatre de l’ONG, j’ai été embauchée. Ni une, ni deux, je me suis envolée pour l’Ouganda, un pays d’Afrique de l’Est. J’y suis restée près de 7 mois. Une mission haute en émotions. Pendant 4 ans, j’ai sillonné les quatre coins du monde et j’ai apporté mon aide tant bien que mal.

En 2011, les premiers bombardements ont eu lieu. Comme toute la population, j’étais très inquiète, je ne savais pas comment tout ça allait se terminer, ni même vraiment comme ça se déroulerait. Au fil des semaines, le monde se transforma en un lieu méconnaissable de tous, un endroit décimé par l’être humain. Avec le travail de mon père, nous avons réussi à se réfugier dans un camp militaire non loin de Baltimore. Nous y vécurent pendant des semaines - je ne sais pas combien exactement mais le temps me parut long – Je ne voyais pas souvent mon père car il avait beaucoup à faire avec l’armée. Soldat de métier, il gérait cependant les quelques papiers du gouvernement grec aux Etats-Unis. Cela lui a permit de se tenir en sécurité un certain temps jusqu’à que son lieu de travail fut bombardé. Il ne nous a pas fallut longtemps avant de comprendre la disparition de mon père. Je revois encore le visage de ma mère. Je ne l’ai jamais vu aussi triste. Un visage vide et pâle. C’était comme si on lui arrachait son propre cœur. Elle n’a jamais vraiment pu se remettre de cette disparition. Les mois passaient et nous logions toujours à la même enseigne, au milieu d’autres familles et personnes cherchant à survivre. Plus le temps passait, plus cet endroit devenait sauvage. J’observais les gens avec une grande attention : leur comportement était devenu presque primaire. Ils voulaient sauver leur peau après tout. Les denrées se faisaient de plus en plus rares. J’essayais tant bien que mal de trouver de la nourriture mais cela ne suffisait pas. Non, vraiment pas. Un matin, j’ai voulu réveiller ma mère quand j’ai compris qu’elle était inconsciente. Au début je croyais qu’elle était morte, mais son cœur battait toujours. Son corps fébrile ne supportait plus la sous alimentation quotidienne. J’ai couru les rues et les avenues à la recherche de nourriture, en vain. Quelques jours plus tard, le 11 décembre 2012, ma mère s’est en allée et se fut le commencement d’une longue solitude pour moi. Errant un peu partout et surtout nulle part, je dormais en hauteur pour qu’on ne me prenne pas pour un bout de viande pendant mon sommeil. Un soir, je fus réveillée par un homme. C’est étrange mais je n’ai pas eu peur un seul instant. Il a commencé à me parler de lui, de sa vie d’avant et puis il s’est arrêté d’un coup. « Viens avec moi » m’a-t-il dit. Je l’ai suivi comme une petite fille qui suivrait un parfait inconnu qui lui tend un bonbon. C’est cette nuit là que j’ai découvert la communauté des survivants.

Je n’en croyais pas mes yeux. C’était une vie sous terre dont tout le monde ignorait l’existence. J’avançais à tâtons en suivant l’homme qui m’avait amené ici. Je ne voyais que des tunnels sombres sans fin. Les gens que je croisais me regardaient fixement; apparemment ils savaient tous que j’étais la nouvelle. Arrivés dans une petite salle, l’homme m’a donné à boire et à manger. Nous avons commencé à discuter ; il voulait en savoir un peu plus sur moi, savoir si j’avais de la famille ici ou aux alentours. Je lui ai répondu que non. Il m’a montré l’endroit où j’allais dormir. J’allais partager ma chambre avec des femmes et quelques enfants. J’ai donc fait la connaissance de quelques membres de la communauté mais j’étais tellement fatiguée qu’à peine les yeux fermés je me suis endormie. Ce n’est qu’au petit matin qu’une des femmes m’a réveillé. Elle m’a fait signe de la suivre pour le petit déjeuner. Ma montre affichait 8:04. Nous avons donc préparé le petit déjeuner ensemble. Je découvrais encore de nouvelles têtes et ne tardais pas à apercevoir une tête familière.

J’étais assise quand un homme est rentré. C’était Aristide. Ce frère que je n’avais pas vu depuis si longtemps et que je croyais ne plus jamais revoir. Il ne m’a pas vu au premier regard, mais je n’ai pas attendu une seconde pour aller le voir. Je me suis lentement avancée vers lui, il était dos à moi, j’ai appuyé ma main sur son épaule et il s’est retourné. Il lui a fallut quelques secondes pour réaliser que je me tenais devant lui et nous avons éclatés en sanglots tous les deux, dans les bras de l’autre. Les yeux remplis de larmes, nous étions incapables de sortir un mot. Les personnes autour de nous ont vite compris qu’il s’agissait de retrouvailles, lesquelles ils ne savaient pas. C’est peu après nos embrassades qu’il a crié dans toute la salle que j’étais sa sœur. Bref. Une fois les larmes séchées, nous avons pu discuter pendant près de deux heures autour d’une table. Je lui ai raconté tout ce qu’il m’était arrivé quand je l’ai vu pour la dernière fois. Je lui ai raconté la mort de mon père et celle de maman. C’est avec beaucoup de pudeur qu’il a réagit. Il m’a raconté sa vie jusqu’à la communauté, m’a expliqué le fonctionnement et les personnes qui y vivaient. Il m’a également annoncé qu’il se avait été exclu de la communauté et n’y comptais plus aucun ami, ou presque. Pour ça je détesterai toujours Gabrielle.

Environ un mois après mon arrivée, les hors la loi s’étaient fait de plus en plus nombreux et la communauté a du quitter New York. Par petits groupes, nous nous déplacions en direction d’Elizabethtown. Il nous a fallu marcher une semaine pour arriver là bas. Malheureusement, l’hiver New Yorkais est l’un des plus rude et glacial de la côte Est. Néanmoins, nous y sommes tous arrivés. On nous a attribué des maisons, je me suis retrouvée avec Aristide et quelques autres personnes. J’ai commencé à travailler à l’infirmerie aux côtés de Matilda. Enfin travailler est un bien grand mot. Matilda ne pouvait pas me sentir, il était donc difficile d’avoir des tâches et les journées assise sur une chaise se faisaient nombreuses. Cependant, après l’explosion de l’église elle n’eut plus vraiment le choix ; le départ de Katarina l’obligea à me confier plus de tâches, heureusement pour moi.

Voilà où nous en sommes et ce que je fais.




HORS-JEU

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Dernière édition par Olympe Tetropoulos le Mar 14 Mai - 20:13, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Olympe tetropoulos    Olympe tetropoulos  Icon_minitimeDim 12 Mai - 16:47

C'est avec du retard que je te souhaite la bienvenue sur le forum Mimi

Ce début de fiche est très, très plaisant et il me tarde de lire la suite de l'histoire, l'arrivée à la communauté, etc ^^
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Olympe Tetropoulos

Olympe Tetropoulos


Messages : 3
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MessageSujet: Re: Olympe tetropoulos    Olympe tetropoulos  Icon_minitimeMar 14 Mai - 20:15

Merci Heureux . Ma fiche est terminée!
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Aristide Tetropoulos
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MessageSujet: Re: Olympe tetropoulos    Olympe tetropoulos  Icon_minitimeMar 14 Mai - 20:25

Je te souhaite officiellement la bienvenue grande soeur !

Ta fiche me semble complète, bien écrite, je ne vois donc aucune modification nécessaire. Tu es validée !
N'hésite pas à ouvrir ta fiche de liens et de topics. Bon jeu ! Ballon
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MessageSujet: Re: Olympe tetropoulos    Olympe tetropoulos  Icon_minitime

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