Service Rendu [Sarah] (forbidden under 18)

Invité

Cette journée était vraiment moisie. New York ressemblait à un bourbier où les survivants se faisaient de plus en plus teigneux. Comme d’habitude, je m’étais rendu à Central Park pour écouler ma came aux drogués du coin. C’était des clients fidèles que je devais approvisionner régulièrement. Je ne savais pas comment ils parvenaient à se faire autant de blé en si peu de temps vu le contexte économique. Mais, ce n’était pas mon problème à vrai dire. Tant qu’ils allongeaient la monnaie, ça m’allait bien, qu’elle que soit la provenance de cet argent.

Mais, c’est sur le retour que ça s’est animé. J’eus quelques soucis avec un groupe de trois individus. Surement des survivants qui en braquaient d’autres afin de les dérober de leurs biens. Manque de chance, j’eus le temps de me couvrir et de répliquer. Je parvenais ensuite à rentrer au QG des Hors La Loi sans avoir la certitude d’avoir abattu les trois renégats. Mais , je n’étais pas tout à fait indemne. Une balle m’avait touché à l’épaule avant de ressortir presque aussitôt. Il s’agissait d’une blessure bénigne mais très contrariante. Le doc’ m’avait placé le bras gauche en écharpe avant que je ne me rende au bureau du Patron pour lui faire mon rapport. Je repartais ensuite vers ma chambre, après avoir passé les marches de l’escalier menant à l’étage désiré, afin de pouvoir me reposer tranquillement.

Enervé, j’ouvris la porte d’une poigne ferme et hargneuse. Je distinguais presque au même moment une silhouette sur mon lit. Toutefois, je n'y fis pas attention pendant un dixième de seconde. Puis, je relevais les yeux presque aussitôt, surpris. Il s’agissait de Sarah qui avait pris place sur mon lit d’à peine un mètre de large. En très petite tenue qui plus est pour ne pas dire totalement nue. Je restais un instant interloqué en la fixant tout en ressentant toujours de la nervosité suite à ce qu’il s’est produit en ville quelques heures plus tôt.

«Qu’est ce que tu fais là ?! Tu ne devrais pas être là et c’est vraiment pas le moment !»

Un profond soupir s’échappa de mes lèvres avant que je ne m’avance dans la piaule, m’asseyant sur la chaise à côté de la table. Je pris une clope dans ma poche que je vins fixer entre mes lèvres avant de l’allumer avec mon briquet. Puis, après avoir rejeté une première taffe libératrice, je repris la parole , mon regard fermé se tournant vers Sarah.

«Tu t’es pas trompé de piaule ? parce que c’est la mienne ici ! »

Invité

Je me réveillais tous les jours en me demandant ce qui m’avait pris de proposer à James de faire le trottoir pour lui en échange de soins. Y’a des fois ou je préférerais avoir passer l’arme a gauche. Et aujourd’hui était un de ces jours là. Enfin techniquement je faisais pas le trottoir, j’avais juste à accueillir les clients dans ma chambre. Et encore j’avais du bol, je me tapais pas ceux que j’avais pas envie. Petit arrangement avec le boss.
J’adorais baiser pourtant…..mais faire croire à un mec que j’avais pris mon pied alors qu’il m’avait même pas donné la moindre once de plaisir me soulait de plus en plus.
Je prenais pas vraiment mon pied…. Ouais j’étais en train de déchanter. Et alors ????

Heureusement que pour compenser y’avait mes petites parties de jambes en l’air devenues quotidiennes avec le patron. C’était peut être un bel enfoiré, mais il savait s’y prendre avec une femme. Il avait de côté bestial que j’aimais, et peut être que son côté latin faisait de lui un super amant….Mais ouais j’aimais coucher avec Armando. Je lui disais jamais non d’ailleurs. Et j’arrivais à lui faire avaler n’importe quoi pour le moment. Mes petites frasques semblaient passer asse facilement. Alors je ne m’en privais pas.
Et aujourd’hui j’étais pas d’humeur à me faire sauter par des clients. J’en avais marre qu’on décide pour moi. Parce que même si je décidais de mes passes, fallait quand même que j’en fasse.

C’est en sortant de ma chambre et en passant par le couloir que j’ai commencé à entendre de l’agitation. Aucune fille ne me parlait directement, j’étais assez transparente pour elle. Tout ce que j’ai entendu c’est que James était ici. Ouais ici c’était carrément le téléphone arabe. Sans jeu de mots hein !
J’avais pas revu James depuis prés de trois semaines, et malgré ses petits airs je l’aimais relativement bien. Avec lui les choses étaient cashs. Y’a que deux choses que j’aimais pas chez lui : sa copine et sa manie à jouer le toutou d’Armando. Ca avait le don de m’énerver. Mais je pouvais comprendre…. Armando était pas du genre à plaisanter quand il donnait un ordre. Si moi j’arrivais relativement à mes fins c’était grâce à mon cul et ma poitrine, fallait pas être idiote pour savoir ça.
Je me suis dit alors que je pouvais lui faire un accueil spécial. Je suis allé frapper à sa porte, mais personne n’a répondu alors je suis entrée. J’attendais depuis une heure quand j’ai fini par commencer à trouver le temps long. J’ai décidé de passer le temps en rangeant un peu le bordel de James. Et puis j’ai décidé de continuer mon attente en me déshabillant presque complètement. J’avais juste gardé mon string. Et je me suis allongée sur le lit, des coussins dans mon dos.

J’ai souri quand j’ai entendu la porte s’ouvrir et James apparaitre. J’étais nue, offerte, et j’avais envie de le soigner à ma façon. Il m’a même pas calculé en arrivant. Je me suis sentie asse vexée mais j’ai attendu. Finalement c’était pas l’accueil que j’attendais. Je pensais qu’il me verrait comme ça, presque nue sur son lit et qu’il me lancerait un sourire coquin. En échange j’ai eu le droit à un :

«Qu’est ce que tu fais là ?! Tu ne devrais pas être là et c’est vraiment pas le moment !»

Sympa….. Je m’offrais à lui et il me balançait ça dans la tête. Si je n’avais pas autant attendu, faisant monter la pression et l’excitation, je me serais sans doute rhabillée et je serais partie en claquant la porte. Mais j’avais pas attendu pour rien. ..On allait baiser ! Qu’il veuille ou pas…
Je me suis retournée pour me mettre sur le ventre et m’approcher du bord du lit, une jambe un peu relevée pendant que James s’allumait une clope. Et après il a fini par se rappeler que j’étais là, et que j’avais pas bougé.

«Tu t’es pas trompé de piaule ? parce que c’est la mienne ici ! »

Non mais il se foutait de ma gueule ou quoi ? C’était quoi son problème ? il était blasé tellement il avait l’habitude de trouver une fille à poil dans sa chambre ? Non !!! Alors bordel c’était quoi son problème.
L’excitation était assez retombée, maintenant j’étais dans le même état d’énervement que lui.

-Prends-moi pour une conne James....je te dirais rien…

Genre, j’étais trop conne pour me tromper de chambre…. Non mais il avait fumé quoi ?

Je me suis levé et je lui ai fait face toujours aussi dévêtue, les mains posées sur mes hanches. Et je lui ai presque craché au visage quand je lui ai parlé.

-Ce que viens faire là ? Je viens baiser….

J’etais presque nue, j’etais pas venue faire une partie de poker quoi… Abruti va….. A la façon dont il tirait sur sa clope, il était enervé. Je demandais pourtant que ça de le calmer …

-Oh allez….je suis là pour te détendre….Tu veux pas te détendre ?

Invité

Les nerfs à vif, je ne pensais plus au moment présent. Mon esprit était parfaitement déconnecté de la réalité. Je n’avais guère apprécié me prendre une balle dans ces conditions. J’aurais pu y rester pour des conneries si je n’avais pas réagi aussi instinctivement. Une chose est sûre, si ces trois enfoirés étaient toujours vivants, il valait mieux qu’ils se fassent discrets et qu’ils ne croisent pas mon chemin. La douleur me prenait de temps à autre, lorsque mon bras entreprenait des mouvements un peu trop brusques.

Le fait de tirer sur ma clope, tranquillement assis à côté de mon bureau me faisait un bien fou. Oui, j’avais certainement besoin de décompresser. Je me prenais souvent la tête bien rapidement sur des détails. C’est ça quand on est un peu sanguin sur les bords. Je me traînais une réputation de colérique depuis des années mais je ne me mettais pas dans un état pareil aussi souvent que les gens pouvaient le penser. Probablement parce que ces gens me craignaient et me prenaient pour un fou dangereux ou soit c’est parce qu’ils m’ont déjà vus à l’œuvre. J’avais tendance à être un sensible de la gachette. Enfin tout cela était sans importance …

C’est alors que je réalisais que Sarah s’était pointée dans ma piaule pour moi. Il faut dire que sur le coup, mon esprit ne fut certainement pas en condition. Dans un premier temps, je pensais que c’était juste pour me faire envie ou pour me faire une mauvaise blague. La journée avait été assez mauvaise que je ne pensais pas à ce qu’elle puisse s’améliorer ensuite. Je la vis arriver à ma portée, quasiment nue, prenant une posture tentatrice. Vu comme elle disait cela, je savais qu’elle ne partirait pas sans avoir obtenu satisfaction. Un léger sourire se dessina enfin sur le coin de mes lèvres. Il faut dire qu’elle me faisait envie cette petite brunette depuis que je la voyais sous mon nez. Mais, j’avais toujours un doute. Comment Armando réagirait si il apprenait tout ça ?

«Et bien…ce n’est pas une si mauvaise idée…»

Un peu désarçonné, sa voix suave me poussait à accepter l’offre malgré mes craintes. Je ne pensais pas qu’un jour, une femme puisse m’attendre dans mon lit avec ce seul objectif en tête. Certes, ça n’allait pas être très évident avec le bras gauche en écharpe mais je ne comptais pas louper l’occasion et me montrer incommodant…pour une fois. Je lui pris la main avant de la ramener vers moi d’un geste plutôt brusque. Une fois que j’étais parvenu à l’installer sur mes cuisses, je repris ma clope entre le pouce et l’index de ma main droite, expirant profondément. Je m’étais permis de la détailler ouvertement quelques instants plus tôt. Elle pouvait donner envie à n’importe quel type sur cette Terre lorsqu’elle s’y prenait de cette manière. Et je ne dérogeais pas à la règle. Mais bon entre ma fierté et une bonne partie de jambes en l’air…je faisais vite le tri comme tout mec normalement constitué.

Ma main droite se posa sur la hanche de la brune avant de remonter inexorablement la pente et d’arpenter les courbes sensuelles de la jeune femme. Mes lèvres se posaient tout d’abord sur sa nuque avant qu’elles ne mordillent temporairement le lobe de son oreille. Je sentais la chaleur émaner de son corps au contact de ma main.

«Tu vas enfin savoir ce que c’est de baiser avec James Dawson.»

Un sourire arrogant sur le coin des lèvres, je la fixais pour la première fois comme l’objet de tous mes désirs. Mes lèvres vinrent ensuite mordiller les siennes. Elle s’attendait peut être à prendre les devants comme d’habitude. Peut être arriverais-je à la surprendre ainsi. Que j’y arrive ou pas, j’avais de l’énergie à revendre au vu de ma nervosité…

Invité

Et maintenant que j étais là, à moitié à poil j’avais franchement pas envie de me rhabiller et de rester sur ma faim. Oui bien sur j’aurais pu trouver un mec pour me satisfaire ou j’aurais dit oui à un client… Mais j’avais envie de James, j’étais même étonnée qu’on ait encore rien fait… Je voulais le remercier et puis je l’aimais bien….enfin y’avait des limites tout de même. C’était pas le même attachement que j’avais eu (oui ok…que j’avais toujours…) pour Nathaniel. Disons plutôt que James c’était plus de la reconnaissance… Et puis j’avais envie de faire chier tout le monde. J’avais envie qu’on nous entende et qu’on me voit sortir de sa chambre. Pour montrer que j’avais de bonnes relations et qu’il fallait éviter de trop me chauffer…

Vu la façon dont il m’avait demandé si je m’étais trompé de chambre, et même si je lui avais expliqué pourquoi j’étais là, il aurait pu très bien, vu son caractère de merde, me dire de foutre le camp. Mais non... A l’instant ou je lui ai dit que j’étais là pour une partie de baise histoire de le détendre, ça a suffit pour commencer à la détendre. Son petit sourire voulait tout dire.

«Et bien…ce n’est pas une si mauvaise idée…»

Comme si j’étais capable de mauvaises idées…. Jusque là les idées que je lui avais proposé étaient toujours bonnes…Bon ok je ne lui en avais pas non plus proposé des tonnes. Mais bon…

-Je n’ai jamais des mauvaises idées, jamais !

Son bras en écharpe serait surement une difficulté, mais on s’arrangerait. Il m’a ramené vers lui de manière un peu brutale et j’ai bien failli râler. Un peu de douceur quand même !! Il m’a assis plutôt de force sur ses genoux et même si sa main saine tenait sa clope, il avait fait de façon à ce que je reste gentiment sur ses genoux comme une petite fille sage.
Il a fini sa clope tranquillement et si tôt il l’avait écrasée, si tôt il est venu me caresser. J’aimais bien sa façon de se mettre en condition. Et j’avais envie de me laisser faire….

Je dis pas non plus que j’allais faire l’étoile de mer en poussant des « oh oui » niais, mais je baisais presque à longueur de journée, et quand c’était pas des clients c’était Armando qui avait le droit de me sauter. N’importe où et n’importe quand c’était ça notre arrangement. Et il se privait pas le sicilien .Et ces parties de baise là, je devais tout faire. Bah oui si vous croyez que les clients vont payer pour une fille qui les entreprends pas vous vous fourrez le doigt dans l’œil les amis.
Donc là je me laissais faire avec plaisir. Bon je comptais bien un peu lui faire voir certaines choses, mais là….je voulais qu’il profite de moi. Et il faisait ca très bien.
Il m’a amenée à lui et il passait ses lèvres sur ma nuque, et il est remonté vers mon oreille qu’il a légèrement mordu. J’ai senti une décharge dans mon intimité. C’était parti…suffisait pas de grand-chose avec moi …. J’étais chaude, très chaude….et j’adorais qu’il me caresse comme il le faisait.

«Tu vas enfin savoir ce que c’est de baiser avec James Dawson.»

J’ai éclaté de rire, et ça s’est amplifié quand il m’a regardé avec un petit sourire victorieux. Franchement dit comme ça, ça pouvait sonner ridicule. Je me foutais pas de lui. C’est juste que…je sais pas ça faisait vachement cow boy…..Mais il m’a regardé avec une telle intensité que j’ai bien vite arrêté de rire et que je me suis laissée faire quand il a mordillé mes lèvres. Avec ma langue je suis allé à la rencontre de la sienne et on s’est embrassé à pleine bouche alors que je me collais à lui.
Ma nature a repris le dessus, juste le temps de glisser mes mains sous sa chemise et de mordiller son cou et son épaule.

-Montre-moi ce dont tu es capable alors…

J’ai basculé la tête en arrière pour le laisser libre de toucher ou de lécher ma poitrine. Et je voulais qu’il me montre ce dont il était capable. Je voulais qu’il me fasse l’amour. J’étais venue pour lui faire passer un bon moment, mais le fait qu’il me propose de s’occuper de moi était plus que tentant. Alors c’est dans un soupir que j’ai dit un truc que j’avais dit qu’une fois jusque là. Et je m’en rendais même pas compte.

-Je suis à toi cette nuit si tu veux. Toute à toi !

Invité

Je n’étais pas du genre à me prendre la tête ou à tourner ma langue sept fois dans ma bouche avant de parler. Enfin, Armando était un cas particulier vu qu’il s’agissait de mon patron et qu’il pouvait péter un câble à tout moment. Certes, mes derniers propos pouvaient paraître présomptueux mais à quoi bon jouer les humbles alors que je sais que je ne suis pas mauvais au plumard ? Ca avait certainement dû la surprendre pour qu’elle se marre ainsi. Enfin, peu de temps après, nous entamions les frivolités.

Collée à elle, je ressentais ma virilité durcir lentement mais surement. Certains réagissaient au quart de tour. Moi, je faisais partie des «diesel» qui augmentaient crescendo en intensité. Elle me faisait envie et je ne comprenais pas pourquoi je ne lui avais pas encore sauté dessus. Probablement parce qu’Armando n’aimerait pas du tout que je me la fasse. Il était le seul à avoir le droit de la toucher depuis quelques temps…en mettant de côté ses clients. Connaissant l’oiseau, je me doutais que Sarah avait surement joué de ses talents pour avoir quelques privilèges. Car le patron ne me semblait pas vraiment intéressé par la jeune femme les premiers jours de son arrivée…

Sa main s’était glissée sous mon tee shirt avec un tel touché qu’il ne pouvait qu’éveiller des pulsions charnelles. Bon, la position dans laquelle je me trouvais n’était pas vraiment confortable. Avoir un bras en écharpe et se servir de l’autre pour retenir Sarah de tomber en arrière…ce n’était pas idéal. Mais, la fatigue n’était pas présente dans un premier temps. Je la voyais offrir sa poitrine menue sous mes yeux et je ne me fis pas prier pour frôler ses seins ainsi que ses tétons du bout des lèvres. Elle avait une peau tellement douce, fiévreuse...Ce contact était tellement agréable. Quelques instants plus tard, je me mis à insister davantage avec la langue de ci de là avant que je ne mordille très légèrement le téton. Ouh year, j'allais m'amuser ce soir...

Dans le même temps, j’entendis sa dernière phrase exprimée dans un soupir. Oh Elle n’avait pas besoin de me motiver davantage pour que je me donne à fond pendant cette nuit. Je comptais bien profiter de cette nuit pour récupérer de cette journée de merde.

Je me redressais ensuite, portant la jeune femme jusqu’au lit à l’aide de mon bras droit enserrant sa taille. Puis, je la relâchais une fois posée sur le lit. Après un faux mouvement, j’émis un léger grognement à cause de la douleur provenant de mon bras gauche. Cette écharpe me gênait et je ne tardais pas à l’enlever et à la balancer dans la pièce, c’était un peu mieux même si je n’étais pas parfaitement à mon aise avec un bandage.
Le bras droit soulagé, je la fixais des yeux toujours aussi intensément alors que je restais debout devant elle. Je voulais qu’elle me chauffe elle aussi. Mon intention était claire. Lentement, j’ôtais la ceinture de mon pantalon, continuant de la fixer dans le même temps pour entretenir ce désir frénétique. J’entrepris ensuite de dénouer le bouton de mon jeans.

«Pour être au top, il va me falloir un petit…échauffement..»

Un sourire pervers s’afficha sur mes lèvres pour illustrer mes envies lubriques. Ma main droite vint caresser la joue de la brune qui avait l’occasion de montrer son talent elle aussi..

Invité

Je venais de m’offrir complètement à lui, allant même jusqu'à dire sans le vouloir que j’étais à lui. Même si dans un sens c’était ça…..cette nuit j’étais à lui et je lui appartenais. Tout comme il m’appartenait.
C’était dingue le chemin que j’avais fait. Maintenant j’acceptais de me réveiller dans le même lit qu’un mec qui venait de me baiser. Et même si James n’était pas celui que j’aurais aimé avoir, je l’aimais bien. Alors….Et puis après ce qu’il avait fait pour moi je lui devais bien ça.non ?

Il ne s’est pas fait prier longtemps quand je me suis cambrée, la tête en arrière, mes seins offerts à tout ce qu’il voudrait bien me faire.
Et il a fait courir sa langue de manière très habile sur mes seins, appréciant leur rondeur et leur finesse. Mes seins étaient durcis par l’excitation qui était montée en moi. Et je commençais vraiment à me laisser aller. J’étais en train de mettre ma main sur sa nuque pour le retenir quand il s’est amusé à me mordiller le téton. J’ai souri en m’offrant encore plus. Il venait juste de faire ce que j’attendais de lui.

Il était vraiment très doué, et j’aimais la façon dont il passait sa langue sur ma poitrine, et la façon dont il soufflait pour donner cette sensation de chaud/froid si excitante.
J’étais carrément chaude….même très chaude. Mais j’étais pas là pour un coup de baise rapide entre deux portes. Je voulais une nuit de folie. Je voulais baiser encore et encore. Je voulais me faire prendre dans toutes les positions.

Ouais bien sûr je baisais tous les jours, mais croyez moi le sexe avec un client ca n’a rien de très satisfaisant. Quand je bossais j’étais plus un vide couilles qu’autre chose… Là c’était différent.
Il m’a poussé doucement sur le lit, et totalement nue et offerte, j’attendais qu’il ne revienne vers moi. Son bras en écharpe devait le gêner, alors il a envoyé valserl’écharpe en grognant et il est revenu vers moi. Je m’étais un peu redressée en prenant appuis sur mes coudes et je sentais que j’étais déjà mouillée.

Encore plus quand il a commencé à délivrer sa queue bien raide qu’on pouvait voir à l’étroit dans son jean. LA ceinture a valsé à travers la piéce qu’il s’attaquait déjà aux boutons du dit jean.

«Pour être au top, il va me falloir un petit…échauffement..»

Il venait de déboutonner son jean et s’en débarrassait. A travers son caleçon on voyait bien son sexe gonflé par le désir. Et quand il s’est avancé vers moi en me caressant la joue, j’ai su ce qu’il voulait.

Bon j’avoue que j’aurais préféré qu’il s’occupe de moi, et que je sois pas obligée de passer par cette étape qui commençait à devenir pour moi une vraie corvée. Mais je me suis dit que j’allais un peu lui faire plaisir. Mais fallait pas qu’il croit que j’avais le faire venir dans ma bouche et que j’allais avaler. Je voulais qu’il me fasse l’amour.

J’ai fait glisser son caleçon le long de ses jambes, le laissant tomber en bas de ses jambes et je me suis allongée sur le lit, à plat ventre, une jambe pliée en l’air et lui devant moi, debout avec sa queue fièrement dressée, j’ai commencé à le sucer.

Ma langue courait le long de son sexe, et je jouais avec toute son anatomie comme une vraie experte. Et quand j’ai senti ses mains sur ma tête je l’ai pris dans ma bouche, et je faisais glisser sa queue d’avant en arrière dans ma bouche.

Après un dernier bisou coquin, je me suis relevée en allant l’embrasser à pleine bouche.

-Donnant, donnant !

Si lui s’était fait comprendre avec son petit regard lubrique, je venais de lui faire comprendre que moi aussi j’avais qu’il me goûte avec sa langue.

» Tonight is the night ( Sarah )WARNING: FORBIDDEN UNDER 18 OR MORE!!!
» Make a wish , witch...(Armando) ( Forbidden under 21!! Warning: some scenes could be very hard to read...))
» La nuit va tomber mieux vaut rester planquer (James D.) (forbidden under 18)
» The Way You Are [Sarah]
» Pas de chance {Sarah}